Un seul être vous manque, et...
etc....
C'est curieux jusqu'à dimanche 13h 35 je n'avais jamais pris conscience de l'ampleur de cette vérité.
A force de vivre avec les gens, nous ne les voyons plus ! Bien sûr, il y a des moments forts d'émotions quelles soient bonnes ou mauvaises. Mais le quotidien a tendance à ternir ce sentiment d'amour que l'on éprouve pour nos enfants et nos conjoints.
Il a fallu le court retour de ma fille pour m'en apercevoir. Il a fallu cet inévitable fin de week-end pour me rendre compte de l'étendu de mon amour pour elle et par la même occasion pour ses frères et soeur et leur papa. Bien sûr, je savais que je les aimais , mais ça coulait tellement de source que ça en devenait banal ! Depuis deux jours c'est devenu une réalité et une douleur palpable.
Oui je suis privilégiée, enfin je dirai que j'ai eu de la chance dans la vie et que j'ai eu un bon sens de l'orientation : j'ai toujours pris le bon chemin. J'espère ne jamais perdre cette boussole.
Mais ce n'est pas parceque l'on est dans le bon groupe, que nous n'avons pas de chagrin.Bien sûr, comparé à d'autres cela peut paraitre dérisoire et enfantin !
N'empêche que depuis ton retour à ta vie etudiantine, tu me manques, et que ton absence se fait cruellement sentir. Et même si je me réjouis de te revoir bientôt, j'angoisse le moment de la séparation par anticipation !
Je t'aime ma fille, profite à fond de cette année (bon, travaille un peu quand même hein !) et fait attention à toi !
C'est curieux jusqu'à dimanche 13h 35 je n'avais jamais pris conscience de l'ampleur de cette vérité.
A force de vivre avec les gens, nous ne les voyons plus ! Bien sûr, il y a des moments forts d'émotions quelles soient bonnes ou mauvaises. Mais le quotidien a tendance à ternir ce sentiment d'amour que l'on éprouve pour nos enfants et nos conjoints.
Il a fallu le court retour de ma fille pour m'en apercevoir. Il a fallu cet inévitable fin de week-end pour me rendre compte de l'étendu de mon amour pour elle et par la même occasion pour ses frères et soeur et leur papa. Bien sûr, je savais que je les aimais , mais ça coulait tellement de source que ça en devenait banal ! Depuis deux jours c'est devenu une réalité et une douleur palpable.
Oui je suis privilégiée, enfin je dirai que j'ai eu de la chance dans la vie et que j'ai eu un bon sens de l'orientation : j'ai toujours pris le bon chemin. J'espère ne jamais perdre cette boussole.
Mais ce n'est pas parceque l'on est dans le bon groupe, que nous n'avons pas de chagrin.Bien sûr, comparé à d'autres cela peut paraitre dérisoire et enfantin !
N'empêche que depuis ton retour à ta vie etudiantine, tu me manques, et que ton absence se fait cruellement sentir. Et même si je me réjouis de te revoir bientôt, j'angoisse le moment de la séparation par anticipation !
Je t'aime ma fille, profite à fond de cette année (bon, travaille un peu quand même hein !) et fait attention à toi !